Reportage : Démantèlement d’un réseau de prostitution à Bangkok

Si la prostitution est majoritairement librement pratiquée en Thaïlande, ce reportage porte sur une catégorie de prostituées destinée à la clientèle du Moyen Orient. Celle-ci est principalement basée dans le quartier «Nana», appelé aussi le « Arabic-Town » de Bangkok. Ces touristes ne sont pas principalement intéressés par les Thaïlandaises, mais par la « femme blanche musulmane ».

Au cours de ce documentaire, des enquêteurs viennent en appui aux forces spéciales thaïlandaises afin de faire tomber ce réseau Ouzbek de traite des blanches. Leur enquête partira du quartier « Nana » de Bangkok pour les amener à Pattaya et enfin les ramener à leur point de départ, plaque tournante de ce trafic.

Résumé officiel :

Vidéo : Le reportage

Réagissez :

Suite au visionnage de ce reportage, j’ai été surpris de la difficulté qu’éprouvent les autorités thaïlandaises à protéger ces filles de leurs proxénètes. Plusieurs réflexions me sont venues :

• Il est obligatoire pour les Thaïlandais d’être en possession (sur eux) de leur pièce d’identité, et donc de leur passeport pour les étrangers. Hors ces filles se font confisquer leur passeport par leurs «ravisseurs»…
• Lorsqu’un étranger travaille en Thaïlande, il doit être en possession d’un « Work Permit ». Je n’imagine pas l’immigration délivrer des « Work Permit » avec la mention « péripatéticienne »… ?
• Les travailleurs étrangers au Royaume savent très bien qu’en cas de contrôle, s’ils devaient se retrouver sans visa valable, sans passeport et sans « Work Permit », ils auraient droit à un aller simple pour la prison, assorti d’une amende et expulsion du territoire.

N’y aurait-il pas là, matière à aider ces filles à regagner leur pays d’origine ? Peut être encore un problème de souple$$e…

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